Collectif Miriadan

Collectif Miriadan

Vos questions, leurs réponses - 1S 2018

Cette page est dédiée à vos questions.

Nos amis multiversels souhaitent pouvoir vous éclairer dans votre recherche de votre Soi.

Leurs réponses sont dédiées à l'ensemble, aussi les questions plus personnelles ou sollicitant mes services sont à transmettre via mon site : Magali Magdara.

Avant de poser votre question, merci de vérifier à partir des liens ci-dessous si elle n'a pas déjà été postée.

Pour retrouver les questions de 2014 et 2015, suivez ce lien
Les questions du 1er semestre 2016 sont ici

Les questions du 2ème semestre 2016 jusqu'au mois d'octobre sont ici
La suite des questions de novembre et décembre 2016 sont ici 
Les questions du 1er semestre 2017 sont ici
Le 2ème semestre 2017 est ici
Pour plus de facilités, vous avez la possibilité de rechercher les questions par ordre alphabétique sur cette page.

16 commentaires:

  1. Bonjour,
    Ne pas pouvoir accepter, voir la souffrance des autres c'est ne pas voir sa propre souffrance. On peut croire que l'on est indifférent. Il peut sans doute y avoir aussi de la colère, de la violence, de la haine. Le déni de notre propre souffrance peut donc recouvrir différentes attitudes ou émotions. Finalement, on est tous malades. Il y a la souffrance visible qui dérange ou pas. Et celle qu'on ne voit pas, qui n'est pas exprimée, niée ou refoulée. Et peut-être qu'alors l'étape suivante, après avoir reconnu notre souffrance, on peut enfin s'aimer, aimer l'autre. Qu'en pensez-vous ?
    Merci Magali.
    Pascale

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Pascale,
      oui, cela nous ramène à l'honnêteté envers soi qui est la plus belle preuve d'amour que l'on peut se donner.
      Je vous redirige vers l'article : http://groupemiriadan.blogspot.fr/2016/01/lhonnetete.html

      Supprimer
  2. Bonjour à Magali et ses Amis,

    1)Comment, concrètement, se libérer de ses croyances limitantes? Sont-elles forcément basées sur nos émotions? Peut-on, par exemple se faire un soin de son vibratoire en posant une intention avant? Autre chose?

    2)Que faire lorsque l'on s'aperçoit que l'on participe au triangle victime-bourreau-sauveur?

    Merci, Magali, pour tes réponses et merci pour ton livre, mix de la Bible et du Manuel des castors juniors!
    Anne

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Anne,
      Merci, cela me plait beaucoup pour le mix, surtout les castors juniors d'ailleurs. Je prends !

      1- Se mettre en observateur de ses paroles, actes et pensées, prendre conscience de nos réflexes. Et oui, tout est basé sur nos émotions et sentiments, que ce soit la paix ou la colère ... Oui, on peut tout à fait poser une intention ou une demande lorsqu'on désire se faire un soin par le son vibratoire. Ensuite on lâche-prise : l'intention a été clairement exposée, on se fait confiance ainsi qu'en la vie pour répondre en Justesse. Notre regard est limité, si on attend que la réponse se fasse dans un cadre précis, on se limite. Les symptômes ne sont pas forcément la cause et notre imagination reste cloîtrée dans ce qu'elle connaît.

      2- Accepter déjà son rôle, ne pas se juger ou culpabiliser. Reconnaître que cela provienne de soi, et uniquement de soi, et qu'il ne s'agit pas de punition mais bien d'une expérience en résonance avec notre intériorité.
      Si l'on est une victime-un bourreau-un sauveur, cela ramène à des souffrances précises. Donc commencer par regarder en soi cette souffrance et la laisser s'exprimer telle qu'elle est, sans chercher d'excuses ou de prétextes. "Je suis malheureuse parce que j'ai reçu une claque de ma mère" par exemple. Le fait est que je suis malheureuse, j'ai le droit d'être malheureuse, j'ai le droit de pleurer librement cette souffrance sans jugement ni raison, simplement pour l'exprimer. Ensuite, tout se mettra en place. Et le sens apparaîtra.

      Supprimer
  3. Une question: le seul guide qui vaille est pour chacun son guide intérieur, son Etre. Alors pourquoi vouloir substituer à ce guide des approches extérieures qui éloignent du chemin intérieur. Chemin qui demande que chacun aille avec courage vers lui-m'aime plutôt que de chercher des réponses par les autres. Comment vous positionnez-vous personnellement dans cet écart que je prends en venant vous consulter, c'est-à-dire en adressant le message à mon guide que je ne l'entends pas ni ne l'écoute....?! Merci pour la réponse. Emmanuelle

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Notre cœur est notre guide. C'est là une vérité qui semble évidente, mais qui ne l'est pas au quotidien. Nous sommes des êtres en quête de paix et de joie, c'est-à-dire rayonner qui nous sommes dans l'ici et maintenant. Si nous sommes en quête, c'est parce que nous nous basons sur des croyances intimes qui nous parlent de désespoir, de mésestime, de punition, de désamour. Et ce sont ces peurs et ces souffrances qui nous éloignent de notre Beauté, et non l'extérieur.
      L'extérieur est le miroir de notre intériorité. Prêter attention à l'extérieur, observer nos réactions et réflexes de pensées, paroles et actions nous ramènent toujours vers nous. A nous de prendre conscience que notre environnement est notre création. Et ce n'est pas si facile. Alors, tant que nous ne sommes pas suffisamment en paix pour communiquer en transparence avec notre cœur, être prêt à l'écouter et à le suivre, nous "déléguons" notre pouvoir à un autre. Du moins, c'est ce que nous croyons.

      L'autre n'est pas un autre. C'est là mon positionnement. L'autre est connecté à votre âme, reçoit ce qui est Juste pour vous et vous le transmet. Je le ressens comme une partie de Vous qui se place face à vous pour vous faire prendre conscience que vous êtes plus que vos limites.
      L'autre est à la fois un transmetteur de votre âme, et aussi vous-même. Parce qu'il n'y a pas de séparation. En quelque sorte, l'autre est un téléphone, donc un outil, qui vous met en communication avec vous-même jusqu'à ce que vous n'ayez plus besoin de lui. Mais les paroles ou l'énergie reçues par le téléphone restent votre essence acheminée par un canal de matière. C'est vous-même qui vous parlez.
      Et selon ce que vous êtes prêts à entendre, comprendre, intégrer, vous choisissez votre téléphone avec soin, en cohérence parfaite avec vous.

      Supprimer
  4. Bonjour Magali.
    Il me semble que les couleurs aient une signification.
    Pourriez-vous l'expliciter ?
    Quel rôle jouent-elles ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tout ce qui est a un sens. La Création est un ensemble Un à partir de chaque élément qui le compose. Et, paradoxalement, c'est parce qu'il y a diversité et différence que l'unité a une cohérence.

      Les couleurs sont à la fois une variation de la Lumière Une, la Transparence (celle qui unit l'ombre et la lumière), puisqu'elles reflètent chacune une fréquence particulière, tout en étant un hologramme parfait de la totalité.

      Concrètement, la couleur est un degré dans la gamme des vibrations, une géométrie sacrée dans la Géométrie. Elle est un complément dans la communication lorsqu'il est question de modifier en profondeur une géométrie sacrée.

      Chaque couleur est une intelligence qui dispose donc d'une conscience. Elle utilise des codes géométriques en relation avec la compétence dont elle est le dépositaire.

      Pour la signification des couleurs, il existe déjà de nombreux sites qui détaillent en fonction des chakras par exemple. Mais rien ne vaut le contact conscient direct. Car chaque couleur a une texture, température, densité et enveloppe uniques.

      Supprimer
  5. Pourquoi est ce si difficile de pardonner et de nous pardonner?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Le Pardon est un acte d'Amour. Cela signifie que nous devons trouver en nous suffisamment d'amour à nous donner pour accepter de lâcher notre souffrance, entrer en Paix.

      Toute souffrance, peur est une lutte interne. Une partie de nous appelle notre attention, mais nous avons souvent peur d'en prendre conscience. Cela revient à plonger vers un inconnu qui nous semble dangereux. Alors, nous utilisons des stratagèmes pour fuir, nous regardons vers l'extérieur pour oublier cette sensation inconfortable qui, pourtant, revient dans de nombreuses situations, tel un réflexe incontrôlable. Et nous le faisons jusqu'à ce que nous arrivions aux bouts de nos forces, de nos limites, que le mur sur lequel nous fonçons tête baissée nous fasse tomber d'épuisement.

      Alors, il y a le "Pourquoi !?" puis le "Je n'en peux plus, aidez-moi !". Et c'est lorsqu'il y a cette prise de conscience qu'il est temps de changer soi que nous lâchons-prise. Nous acceptons que la réponse vient de notre intériorité et que, finalement, nous méritons nous aussi de guérir.

      Le Pardon étend son réconfort dans l'amour que nous nous portons. Il nous illumine à partir de nous, du fait que nous aussi avons droit de nous aimer. Et aimer commence par reconnaître que nous sommes malheureux. Nous devenons notre propre Sauveur, Christ.

      Mais tant que nous fermons notre esprit à notre souffrance, que nous cherchons encore à l'extérieur les causes de notre mal-être, nous alimentons notre lutte interne. Nous refusons de nous offrir cette compassion, cette écoute bienveillante et guérisseuse qu'est le Pardon.

      Aucune souffrance, aucune gêne ou peur ne provient de l'autre. Tout trouve ses racines en soi, dans notre enfance-adolescence. A nous de aimer assez pour aller vers nous-même dans des retrouvailles pacifiantes et libératrices.

      Supprimer
  6. ☆ Bon-jour Magali et Miriadan ☆.
    Pouvez-vous nous parler du sucre?
    Merci.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour. Vous êtes dans des mouvements de conscience qui ajustent dans l'instant présent le positionnement de l'individu. Alors vous reprenez chaque élément qui influence votre vie, et notamment votre alimentation.
      Le sucre, le chocolat, le café, le thé ... doivent-ils automatiquement être parés d'une étiquette "bon" ou "mauvais" ? Que votre corps réagisse à un aliment veut-il dire que cet aliment est "nocif" ? A vous de choisir.
      L'Un ne fait aucune différence parmi ses enfants, quelle que soit sa forme. Décidez pour vous de l'influence énergétique des aliments en votre corps.

      Supprimer
  7. Bonjour Magali et Miriadan.Pouvez-vous nous parler du "secret" ? Par exemple le secret des initiés : puisque nous sommes UN ,nous pouvons donc tous puiser dans la Source?Alors pourquoi des initiés et des non-initiés. Cette croyance est-elle encore d'actualité ?
    ☆Merci☆

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Les secrets correspondent parfaitement à la période de la Dualité au cours de laquelle il était cohérent de générer des niveaux de connaissances. La connaissance donnait le pouvoir, donc l'injustice. L'illusion d'être élu permettait de flatter l'orgueil, ce qui amenait au mépris et à la trahison, à la croyance d'une supériorité sans laquelle il ne pouvait y avoir d'esclaves ou de castes, et donc à la guerre.

      Il s'agissait d'un outil, tout comme le sont les religions, l'argent, etc. qui était employé avec justesse afin que puissent se dérouler les évènements de l'Histoire.

      Aujourd'hui il n'y a de secrets qu'en vous. Lorsque vous recevez des messages parlant de révélations, cela vous ramène à vous-même, directement. Les révélations concernent votre prise de conscience de qui vous êtes et sur quoi vous fondez vos croyances. Votre société est l'exact miroir de votre intériorité. Si vous continuez à avoir besoin de la séparation, de la dualité, parce que vous n'avez pas terminé vos expériences, alors tout est mis en place pour vous conforter dans vos vérités.
      La connaissance de la Création est disponible partout et pour tous. Tant que vous avez besoin de savoir, vous vous limitez. Lorsque vous acceptez que vous n'avez pas besoin de savoir, vous ouvrez vos bras à l'abondance et à la connaissance.

      Supprimer
  8. Bonjour Magali,
    Je souhaiterais savoir comment peut-on expliquer l'impression de déjà-vu ? J'en ai tellement beaucoup que ça en devient effrayant.
    Merci

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. L'impression de "déjà vu" peut avoir plusieurs explications. Cela peut aller de la prescience (en rêver, l'oublier et le voir ensuite) à des évènements similaires qui se reproduisent afin de pouvoir se tester (refait-on la même chose, avons-nous les mêmes réflexes émotionnels ?).

      C'est aussi un apprentissage à la fois du lâcher-prise et de la confiance en soi. Le "déjà vu" est l'occasion de s'amuser de soi, de s'observer et de poser sa foi en soi et en la vie. Progressivement, le "déjà vu" se transforme en prise de conscience de son pouvoir personnel et de sa responsabilité joyeuse dans la création de son chemin.

      Supprimer